Spécial coup de coeur à Pierre Alonso...

Pierre Alonso est auteur compositeur mais il a été interprète avec un joli parcours... Homme de coeur et de talent, il est mon essence-ciel !

Pierre Alonso est un homme chaleureux, un andalou méditerranéen, c’est dire s’il a le sang chaud et le cœur en or ! Sa sensibilité lui a ouvert les voies des arts et c’est dans la musique qu’il a creusé son sillon, avec une modestie et une discrétion qui personnellement m’émeuvent toujours.

Je le connais bien : c’est mon petit frère. Il a déboulé dans ma vie comme un cataclysme, j’avais 7 ans et des habitudes, comme celles d’être le garçon manqué de mon père. J’ai dû revenir à ma place de sœur du milieu… mais comment aurais-je pu lui en vouloir ? Dès que je l’ai vu, il avait 2 jours !, il est rentré à jamais dans mon cœur et dans mon âme. Et il m’a suivie au bout du monde, celui de mes rêves, sans me comprendre toujours (au début) et puis en m’épaulant et ne me lâchant jamais. Je suis heureuse de vous le présenter ici.

https://soundcloud.com/alonesotracks/rendez-vous-dans-les-etoiles

Son parcours...

Né en 1953 en Algérie, 4^e génération d’ascendants venus du sud de l’Espagne. En France (Toulouse) depuis 1962.

De ses origines andalouses, il hérite de deux passions : l’Espagne et la guitare.

Pierre a 6 ans, quand il commence au piano son aventure musicale. Puis très vite, il découvre pour ne plus la « lâcher », la guitare. Dès l’âge de 16 ans, il participe comme bassiste à divers groupes Rock de la région toulousaine, tout en composant et écrivant des chansons qu’il commence à produire lors de concerts, accompagné de sa guitare 12 cordes.

1981. Demi-finaliste d’un important radio crochet de l’époque le Micro d’or, organisé par la Dépêche du Midi.

C'est alors une période riche en rencontres déterminantes.

Fondateur du groupe Megaloscop, il effectue plus de 200 concerts sur le podium d’une radio très connue de cette époque.

1984. Le voici animateur d’une radio toulousaine Radio Cambos. Il y anime une émission culte Francofolies, dédiée à la promotion de la chanson francophone. De nombreux artistes toulousains (et même parisiens !) connus ou moins connus sont venus y trinquer à la convivialité.

1986. Il partage un bout de route avec des compères qui ont fait leur chemin depuis : Art Mengo et Patrice Guirao (auteur/parolier/écrivain majeur français)

1992. Il rentre en studio et commence un voyage de rencontres magnifiques, avec au fil des années, des personnages mythiques du studio Condorcet Toulouse : Jacques Cardona, Jean Garcia, Bernard Laville, Pierre Téodori, Didier Leroy…

Ma nuit Rock, by Pierre Alonso

Certains de ses titres, comme « Ma nuit Rock » sont toujours programmés par des web radio (20 ans après !)

Aujourd’hui.

Participation en tant qu’auteur et compositeur à l’album de SeB Aloneso

Travaille des textes pour plusieurs artistes interprètes français.

Avec sa fille Loocky Charm et son ami Didier Leroy

Paroles et musique Pierre Alonso ; arrangements, voix, Seb.

Commentaires: 19

#19
Daniel (mardi, 20 juillet 2021 21:04)

Un très beau portrait de mon grand frère, et tellement vrai. Cœur , musique écoute compréhension fidélité et fête sont pour lui légion .je l’aime ❤️❤️
#18
Pierre alonso (lundi, 30 septembre 2019 18:17)

Que de souvenirs ! Merci les amis « soignants » avec qui j’ai partagé l’impensable, la maladie et la mort .... vos messages sont porteurs de Vie et d’Amour et oui je suis vivant et je vous aime ! Carpe diem
#17
Ninot Kévin (lundi, 30 septembre 2019 15:47)

Cet homme est un modèle... Non pas parce qu'il est parfait... Mais parce qu'il a réussi à donner du sens à ses imperfections, il a su prendre appuie sur sa vie, ses gamelles pour rebondir et devenir quelqu'un de grand...
Il a été mon collègue pendant 2 ans et mon binôme pendant 1 année entière à me supporter... Pourtant jamais il n'a eu un mot plus haut que l'autre... Pierre est à la fois une figure paternelle et un ami, il guide écoute et conseille avec parcimonie... Un grand allumé, pour ne pas dire éclairé, qui dit ce qu'il pense avec bienveillance... Il est aujourd'hui un ami... Je te souhaite de te remettre au plus vite. Je t'embrasse Pierre!
#16
Maïa (lundi, 22 juillet 2019 08:21)

Et moi, très fière d'être sa "grande-petite" soeur... Merci à tous ses amis de lui manifester ici leur affection ! C'est très important. MERCI
#15
Gabriel (lundi, 22 juillet 2019 07:24)

Ami doté d'une grande présence et sensibilité, merci la vie de m'avoir fait connaître un frère et agrandir la famille
#14
Ké20 (dimanche, 12 mai 2019 23:48)

Un collègue, puis un binôme, un ami et un confident... Un homme au grand cœur, sensible et pourtant la tête sur les épaules... Merci encore pour ton soutien et sache que je suis là au besoin �
#13
KEITA LANSANA (samedi, 11 mai 2019 11:59)

Le cœur de Pierre brille plus que le soleil. Il a été mon collègue durant cinq belles années, durant lesquelles j'ai été fasciné par la modestie extraordinaire de l'homme. Je n'ai jamais croisé une telle qualité humaine supérieure à sa tienne.
Je te porte dans mon cœur et j'attends toujours notre invitation.
Merci pour tout.
#12
Mestre (vendredi, 10 mai 2019 13:07)

Un ancien collègue et devenu ami un grand homme pleins de sagesse. Tellement heureux d'avoir pu le rencontrer. Un homme avec le cœur sur la main, toujours le sourire et la blague facile. A bientôt l'ami !
#11
Christophe (vendredi, 10 mai 2019 11:11)

Que tu es beau mon cœur mon frère je t aime
#10
Pierre Alonso (dimanche, 05 mai 2019 09:06)

Quelle émotion à vous lire ! merci à ma sœur et à vous, amis (es), famille qui faites partie de mes "Eternels" ….. Vive la Vie !
#9
Maïa (samedi, 04 mai 2019 22:44)

Merci pour vos commentaires ! Je suis heureuse que cette page reprenne un peu d'actualité. Il le mérite !
#8
Anne (samedi, 04 mai 2019 21:57)

Quand on a dit P’tit Pierre on a tout dit , c’est mon enfance ,mes souvenirs ,
partage de l’amour des autres et dévouement certain .
Bisous cousin P’tit Pierre Grand Cœur
#7
Philisa (samedi, 04 mai 2019 15:47)

Quand je pense qu'on se croise sans jamais se voir depuis le temps que tu m'en parles . Très contente de découvrir un peu plus de ton petit frère.
A bientôt un jour qui sait ...! Gros bisous Ma-ia
#6
lou (samedi, 04 mai 2019 06:37)

il est 7h les oliviers tout autour de moi, je viens de parcourir ce bel hommage à ton "petit frère". Super ! Que Pierre continue à soulever cette émotion dans nos cœurs pendant de nombreuses année à venir.
Je vous embrasse à tous deux.
#5
Guirao patrice (vendredi, 03 mai 2019 18:10)

Pierre est de ces hommes qui ont toujours porté l’humaIn comme un feu précieux qu aucun souffle ne peut éteindre loin du chant des sirènes il conduit son vaisseau de vie avec pour seul étendard l’amour des autres. Il est. Il est de nos vies de nos pensées de nos bonheurs de tous nos rires et de ces délicieuses nostalgies de l’enfance . Un ami un frère un autre moi même. Fier d’être des tiens Pierre.
#4
Sara Do (mercredi, 09 avril 2014 12:07)

Merci Maïa, de partage et bien contente de connaitre un peu, beaucoup, de ton essence-ciel.
Bonjour Monsieur son frère pour qui la musique est aussi quelque part l'essence-ciel.

D'étoilement ;)
#3
brittbourger (lundi, 07 avril 2014 23:40)

Quelle émotion de vivre ces "années lumière"Ann 70 jusqu'à aujourd'hui
#2
Michèle P. (lundi, 07 avril 2014)

C'est très beau
#1
ALONSO PIERRE (lundi, 07 avril 2014 14:12)

que rajouter, enlever, mettre entre parenthese ??? une soeur, un frere, une histoire ..... la notre !!!!! oui je t'aime aussi !!!! P'tit Pierre

Le dernier roman de l’auteure gersoise Maïa Alonso

Nouveau roman de Maïa Alonso, auteure gersoise qui a publié de nombreux romans, notamment sur le thème de ses racines en terre d’Algérie. Aujourd’hui c’est son lien avec son cher terroir gersois qui est à l’honneur dans un beau roman écrit avec toute sa sensibilité habituelle. Éditions Lazare et Capucine

Après plusieurs ouvrages et romans traitant de l'Algérie d'autrefois, Maïa Alonso raconte une étonnante histoire de famille dans un château au cœur du Gers: fantôme, mensonges, trahison, musique, amour, pardon, avec pour cadre la merveilleuse toscane gersoise. L'auteure aime sa région et nous la fait aimer.

Entretien du 27 aout 2020 sur Radio Coteaux avec le journaliste Pierre Escorsac (pour écouter, cliquer sur le lien)

Une émission d'une heure avec 3 pauses musicales : Schubert Trio andante, "Gracias a la vida" M Sosa y J Baez et "Hallelujah" par Tim Buckley

A retrouver sur ma chaîne Youtube...

Maquette réalisée à partir de ces photos : selfie de Carole Guère, puis extraction du reflet retravaillé par Jane Grogan

En quelques mots...

Une vie entre deux amours, un lien fatal, un secret jalousement gardé jusque là...

Dans Juste un reflet sur la vitre, on retrouve Marie, la jeune héroïne du Soleil colonial au royaume des cailloux, 45 ans plus tard, en 2007. Elle va mourir au sein de sa famille : Pascal, l'époux attentionné et leurs trois filles, Lucie, Joy et Émilie, dans leur vieille demeure gersoise, le château du Prado. La révélation du secret de Marie va bouleverser chaque membre de sa famille à l’exception de la benjamine, enfant indigo, qui danse avec les sangliers.

Pour Émilie, après le dernier soupir, la vie continue sur un autre plan vibratoire...

Ce sera le thème d'une suite en projet... mais pas immédiat !

Rencontres 2021

L'auteure sera en dédicace lundi 8 mars à 14 heures à l’Ateul, 6 avenue du Maquis de Meilhan - Lombez (Gers)

Mardi 6 avril à 15 heures, vidéo live sur le groupe Facebook "Ouvrons nos livres sur la médiumnité"

Vendredi 19 mars à partir de 9h30 à la médiathèque de Seissan (Gers)

Les 8 et 9 Mai au salon Plumes d'Occitanie à Gaillac (Tarn) ANNULE

Le 22 mai à la médiathèque de Lombez de 10 h à midi.

LE 17 Octobre 2021 à Cadours (31) Salon du livre

Samedi 27 juin au salon du livre de Ciadoux (Haute-Garonne) REPORTE au 7 novembre 2021

D'autres dates en projet...

Éditions Lazare et Capucine

Vous souhaitez un exemplaire dédicacé ?

Pour toute information, Rendez-vous à la page contact -

Coût pour un envoi postale 16€ + 6€ de frais

Lu dans Babelio

"Un roman très abouti où se mêlent, comme dans une tapisserie ancienne, le présent et le passé, le réel et l’onirique, dans des pages magnifiques, comme celle, digne d’une anthologie, de l’accouchement de l’enfant du futur. Un hymne à l’amour, secret, mystérieux, bouleversant", écrit dans "Babélio", l’auteure linguiste Michèle Perret

Échos dans la presse

L'Algérianiste Juin 2020 - De Pierre Dimech

"L'Algérianiste" (juin 2020, n° 170)
Juste un reflet sur la vitre
Maïa Alonso
Éd. Lazare et Capucine, 191 pages, 16 €.

Les décennies se succèdent, et à la veille des soixante ans de notre « Grand dérangement », pour parler comme nos lointains- et proches – cousins d’Acadie,cela se traduira dans les livres par l’accentuation d’un mouvement déjà amorcé, avec la disparition désormais accélérée des derniers Témoins de l’Algérie française. La part des ouvrages de souvenirs achèvera de s’estomper, celle des essais à vocation historique se maintiendra tout en laissant une place de plus en plus grande aux apports de l’extérieur : enfants ayant « mûri », petits-enfants, et chercheurs de vérité. Ce propos liminaire est dépourvu de toute aigreur, sous-tendu par la Parole : « Si le grain ne meurt... ». Entre souvenirs et essais, notre compatriote Maïa Alonso a d’emblée emprunté une voie médiane dès ses premiers ouvrages. Et elle a tracé sa route en suivant le chemin de la pure littérature, jalonné d’étapes-caravansérails, à la recherche d’un Sud profond : je pense ici à « L’Odyssée d’un Grain de Bled... », au
« Soleil colonial... », au « Papillon ensablé ». Cela la mène aujourd’hui à ce mystérieux « Reflet sur la vitre ». Et quelque chose me dit qu’elle n’a pas encore atteint l’issue de son voyage littéraire. Bien entendu, ce Sud n’est pas, n’est plus en tout cas, un lieu géographique précis, mais le terme d’une odyssée de l’âme. Le rôle de cette recension n’est pas de résumer un ouvrage complexe dans lequel Maïa nous montre qu’elle a atteint sa maturité d’écriture. Il est d’éviter au lecteur issu de notre pays perdu de partir sur un chemin de traverse en quête d’une Algérie-mirage qu’il ne trouverait bien sûr pas et qui le laisserait, non sur sa faim mais sur sa soif, égaré et déçu. Car l’Algérie pétrie de chair s’efface dans cet ouvrage, au rythme des générations qui se succèdent...Et pourtant ! Pourtant, au fil de l’intrigue qui se développe par bonds, avec de fréquents retours dans le passé, « elle » est pourtant là, rôdant comme une ombre douloureuse….sur le reflet d’une vitre. Ceci n’est d’ailleurs pas qu’une image. Dans ce livre, se développe de façon de plus en plus prégnante une atmosphère qui n’avait jusque là, dans les ouvrages précédents, été que furtivement, discrètement, esquissée, qui révèle la présence d’un « monde parallèle ». Je n’en dirai pas plus ici et maintenant. Mais une chose est certaine. En poursuivant sa création et en l’affinant au mesure des livres qu’elle nous livre , Maïa Alonso fait, au sens fort, historique du terme, œuvre algérianiste. Je gage que Robert Randau, mais aussi Louis Lecoq et Charles Hagel, auraient apprécié ce travail en ce sens que l’Algérie, bien plus qu’un décor, était pour eux le signe d’un état d’esprit et le ferment d’une littérature qui n’avait pas besoin d’être « régionaliste » pour être l’expression « d’Algériens », donnant ainsi toute sa juste part à la contribution de notre Terre natale à la littérature universelle.

Pierre Dimech, contributeur de la revue.

Jean-Pierre Lledo, cinéaste : Musique de l'âme

Juste un reflet sur la vitre, dernier roman de Maia Alonso

Maia Alonso ne sera jamais une romancière réaliste. L’arrachement de la petite fille de son humus, l’Algérie, au moment de son indépendance, les violences terroristes du FLN contre les siens, elle les a toujours sublimés soit par la poésie (L'odyssée de Grain de Bled en terre d'Ifriqiya), soit carrément extériorisé dans un récit (Le rêve assassiné), soit pour ses romans précédents dans des fictions baignant dans des atmosphères particulières, l’on pourrait dire poétiques. Il en va de même pour ce nouveau roman au titre magnifique, Juste un reflet sur la vitre.

Histoires de couples qui se font, se défont et se refont, ‘’Songe d'une nuit d'été’’ de Shakespeare a beaucoup inspiré, au théâtre comme au cinéma (notamment avec Bergman, et Woody Allen), et là, l’auteur nous propose sa version bien à elle, certes pas dans le registre de la comédie (à moins de lui ajouter l’épithète humaine) de ce combat perpétuel entre ces forces qui nous poussent à aimer et/ou à détruire. Ce qui est aussi une manière d’échapper au traumatisme fondateur du pays volé. Dès la première phrase, l’héroïne, Marie-Sahara, ne se débarrasse-t-elle pas du fardeau : le petit caillou que Rachid lui avait donné et qu’elle jette du bateau qui exile à jamais l’orpheline, puisque ses parents avaient été assassinés. Elle avait 15 ans. Et elle en a désormais 60. Nous sommes en 2007 et elle va mourir, dans ce qui fut sa terre d’accueil, le Gers. Mais va-t-elle vraiment mourir, puisque agonisante elle va détruire et de cet autre monde, elle va aider à reconstruire ?

Entre ces deux extrêmes mortifères, Maia Alonso, nous déroule 45 ans de vie de son héroïne devenue simplement Marie, 45 ans d’amour-trahison, cette espèce d’amour qui n’est justement pas trahison. Mais je l’ai dit, Maia n’est pas une romancière réaliste. Son écriture lyrique et magique avance comme par une série de caresses, même quand les situations sont rudes, avec des scènes d’anthologie (la rencontre d’Émilie avec une laie, ou l’accouchement de Lucie).

En dire plus serait indélicat, il faut découvrir par soi-même cette belle œuvre où se décline de cent manières la devise de Maia empruntée à Dos Passos, Vous pouvez arracher l'homme du pays, mais vous ne pouvez pas arracher le pays du cœur de l'homme,(qui pourrait être mienne en remplaçant ‘’pays’’ par ‘’peuple’’) et où même sans l’omniprésence de Schubert, tout, arbres et animaux inclus, est musique des âmes.

Jean-Pierre Lledo, cinéaste, 1^er Aout 2020

La Dépêche du Midi (Gers) - 17 juillet 2020

Avec ce nouveau roman, Maïa (ici avec l’auteur J.-L. Marteil) signifie sa gratitude envers le Savès devenu sa terre d’accueil. Photo Librairie Buissonnière

Samatan. Maïa Alonso dédicace son nouveau roman à la librairie Buissonnière

Samedi 18 juillet de 11 heures à 18 heures, après l’auteur-éditeur Jean-Louis Marteil, la librairie Buissonnière reçoit Maïa Alonso, notre correspondante, sous sa casquette d’auteure, pour la dédicace de son nouveau roman "Juste un reflet sous la vitre" (Ed. Lazare et Capucine), dont l’intrigue se déroule principalement à Samatan et ses environs. Maïa rompt avec son thème sur l’Algérie. Elle a choisi de chanter la Gascogne en réponse à une intervention en 2014 de l’élu Jean-Pierre Laffontan lors d’une précédente dédicace à la médiathèque de Samatan : "Vous avez aussi écrit : "Étant désormais de nulle part, je suis de partout". Sachez Maïa Alonso, que nous ferons tout pour qu’un jour vous disiez, je suis de Lombez." Et il concluait en l’invitant à faire de la terre du Savès sa terre d’élection. C’est chose faite avec ce nouveau livre. L’intrigue : Nous sommes au Prado (inspiré du château du Pradel de Samatan). Marie agonise, entourée de l’amour de ses trois filles. Son mari découvre qu’elle a mené pendant toute la durée de leur mariage une liaison avec un violoncelliste florentin. Marie se révèle libre et passionnée. Mais sa liberté infligera bien des souffrances autour d’elle. "Un roman très abouti où se mêlent, comme dans une tapisserie ancienne, le présent et le passé, le réel et l’onirique, dans des pages magnifiques, comme celle, digne d’une anthologie, de l’accouchement de l’enfant du futur. Un hymne à l’amour, secret, mystérieux, bouleversant", écrit dans "Babélio", l’auteure linguiste Michèle Perret.

Dépêche du Midi - Gers - Jeudi 13 mai 2021

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