Dès 2002, il se reconvertit dans le BTP, puis dans l’aéroportuaire en Asie. En 2011, il quitte définitivement le Cambodge non sans avoir rencontré au cours d’une audience Sa Majesté Norodom Sihanouk. Fin 2011, il est délégué auprès de la Fédération internationale d’équitation.
2011-2013, il opte pour une nouvelle voie, cette fois-ci dans le grand hydraulique au Maroc. C'est ensuite le retour en France, où il réhabilite un voilier sur lequel il vit désormais. C’est à son bord qu’il a écrit son livre.
Entre temps, sa passion pour l’équitation et son implication dans l’enfance défavorisée l’amènent à s’investir au Cambodge sur le plan associatif avec la création du Centre équestre cambodgien (CEC) et le lancement du projet « cheval avenir en faveur des enfants défavorisés ».
Passionné d’équitation, il est également très attiré par le cyclo-cross, la navigation en mer, ainsi que la moto. Malgré cette vie professionnelle pleine de challenges qu’il a toujours relevés, il consacre son temps libre à des projets socio-éducatifs et sportifs, notamment au profit de l’enfance défavorisée.
Cette vie à cent à l’heure a développé des qualités d’ultra sensibilité tournée vers l’autre quelle qu’en soit l’appartenance ou la culture. Désormais, enraciné à Madagascar, toujours penché avec humanité sur la profondeur d'âme de ses comparses, il exprime cette sollicitude : « Ici aussi où, en ville, et malgré mes longs séjours dans maints pays pauvres, je pense découvrir la misère urbaine la plus profonde. Sans doute aussi, due à l’absorption de mauvais alcools dont le Taokagasy (prononcer « Tokagas ») qui transforme des hommes en zombis, sans plus aucune humanité apparente que leurs corps perclus de douleurs intérieures insondables. C'est tout simplement impressionnant. »
Commentaire de Philippe Garcia à propos de cette photo :
En souvenir d’un générique que j’ai eu l’honneur de partager avec elle (l'actrice Isabelle Huppert). Sur un petit rôle à cheval. Celui du « Capitaine français », dans Un barrage contre le Pacifique, tiré du roman de Marguerittes Duras. Un film tourné au Cambodge, sur les lieux même où vécut la romancière.
Isabelle Huppert, une super star qui sait aussi être une dame à la simplicité désarmante !
Il est nominé au Trophées du Sénat 2008 – Un comité de soutien avait été créé et animé par Michel Dabadie, inspecteur général de la Banque de France, alors conseiller auprès de la banque nationale du Royaume du Cambodge, pour faire connaître l'action de Philippe Garcia en faveur de la jeunesse au Cambodge, grâce à la pratique de l'équitation.
Un comité amical s'est en effet constitué le 13 décembre 2007 pour faire connaître l'engagement remarquable de Philippe Garcia au service de la jeunesse au Cambodge : permettre aux plus pauvres de faire connaissance avec l'équitation au Centre Equestre Cambodgien, faire remporter à de jeunes gens des trophées prestigieux lors de compétitions internationales, développer l'élevage de chevaux au Cambodge. Mais surtout : " resocialiser ces enfants, les faire croire de nouveau en eux, en leur faisant investir une activité positive et valorisante", précise-t-il.
Il met son enthousiasme, son expérience et son esprit d'entreprise au service de la jeunesse.On dira de lui qu'il est un "humaniste en action", "un homme de
ralliement pour les Français à l'étranger et un trait d’union entre les communautés" (F. Giovalucchi).
Cet homme qui fut enfant d’Algérie, s’avère un ambassadeur remarquable de l’image de la France à l’étranger.
http://ecuriessansfrontieres.blogspot.fr/2007/12/comit-de-soutien-philippe-garcia.html
http://centreequestrecambodgien.blogspot.fr/
Philippe est passionné par une petite automobile au prestigieux passé : la 4 L; On peut suivre son histoire sur deux forums :
https://www.r4-4l.com/forum/viewtopic.php?pid=490521#p490521
Une écriture saisissante.
Le soleil se lève toujours quelque part relate des aventures étonnantes, palpitantes, toujours humanistes qui virevoltent d’un univers à l’autre, d’un temps à l’autre, se riant de la chronologie et cependant gardant une profonde unité à l’ensemble du récit.
Philippe Garcia a ce don de nous faire vibrer à ses instants de vie comme si nous y étions... Un parcours peu banal, la restitution originale d’une destinée sous forme de mosaïque. Ce procédé maintient sans cesse en éveil notre intérêt, tout comme notre curiosité.
Philippe Garcia nous livre avec ferveur et un indéniable talent de la narration, des histoires qui invitent à regarder lucidement au-delà de l’horizon, révélant la profondeur d’âme de ces peuples rencontrés, souvent de façon édifiante : « … un souverain historique, une petite employée, un membre des forces spéciales, le fellah d’un douar inconnu ou encore un illustre pilote d’un grand rallye-raid, qui ont chacun un destin unique et sont tous des hérauts du monde d’aujourd’hui, m’ont durablement marqué et sont ma grande richesse », dit-il et il poursuit : « Ce livre s’inscrit parmi tous les témoignages qui opèrent une transition nécessaire de la prise de parole individuelle à la prise de conscience collective. J’ai évoqué des hommes et des femmes qui, plongés dans la douleur, la violence ou le sordide, affrontent courageusement l’adversité, et ne font jamais des autres, les boucs émissaires de leurs faiblesses, voire de leur lâcheté. Des hommes et des femmes éblouissants de sagesse, de pugnacité et d’optimisme. »
Cet ensemble de récits met en scène ces personnages remarquables que l’auteur a côtoyés, fréquentés, admirés, dont il rapporte les histoires toutes différentes et denses, proclamant des valeurs comme le dépassement de soi, l’espoir ou l’empathie.
Réfractaire à une démarche autobiographique mais attaché à faire œuvre de mémoire, Philippe Garcia a donc adopté une forme sans chronologie, réaliste et puissante : des tranches de vie surdimensionnée qui ont façonné sa personnalité, influencé son emprise sur les événements et probablement même, son écriture vigoureuse, foisonnante, superbement évocatrice. Ainsi, sur les pas de son ami Vannarin dans la jungle prolixe cambodgienne puis vietnamienne, on partage avec lui et ses compagnons les affres de la peur, de la faim, le joug des Khmers Rouges. Une effroyable efficacité du récit nous empoigne.
Ces portraits sont aussi un appel à un supplément d’âme, philosophie chère à l’écrivain de Médéa, Jo Sohet (1930-2010). Le titre du livre annonce la promesse d’un jour nouveau, une invitation à l’espoir, à la sublimation. En des moments souvent moroses, voire sinistres et cyniques, ces textes saupoudrés de poésie se veulent une malicieuse mais amicale provocation.
La description de la souffrance du pilote Hubert Auriol accidenté, lors du Paris-Dakar 1987 et dont il est témoin, est un véritable florilège à la gloire du courage humain : « Le respect de l’épreuve, le sens de l’engagement vis-à-vis de son écurie, de sa marque, de ses mécaniciens, de son public, et des sponsors qui lui ont fait confiance. Un professionnalisme, un sens de la parole donnée, un courage et une résistance à la douleur qui ne peuvent que forcer l’admiration des soldats de métier qui l’entourent à cet instant et partagent ces valeurs au quotidien » (P. 163)
A lire pour ces témoignages forts, la générosité qui imprègne ces pages. Pour se réconcilier (si besoin et parfois le besoin y est) avec l'idée de l'Homme, avec un H majuscule.
bordés et la petitesse de notre pourtant
si vaste planète.
Des récits palpitants qui soulignent la force de l’enthousiasme, du dépassement de soi, de l’espoir et de l’empathie.
Des gens rencontrés tels qu’un souverain historique, une petite employée, un membre des forces spéciales, le fellah d’un douar inconnu ou encore un illustre pilote
d’un grand rallye-raid, qui ont chacun un destin unique et sont tous des hérauts du monde d’aujourd’hui.
Longtemps encouragé par mes proches et des amis à publier sur ma vie atypique et multiple aux quatre coins du monde, j’ai toujours écarté une démarche
autobiographique chronologique qui ne me convenait pas. J’ai préféré, par ce livre mémoriel, rapporter des tranches de vie vécues auprès de gens admirables « aux côtés desquels j’ai vu se lever
le même soleil » selon ma dédicace. Des histoires qui invitent à regarder lucidement au-delà de l’horizon, sans jamais renier de son époque, de son identité et de
ses origines. Des récits qui amènent aussi à ouvrir les yeux sur la profondeur d’âme des peuples, au travers de rencontres qui ont façonné l’homme que je suis. Des rencontres avec de belles gens,
qu’ils soient souverain régnant ou pauvre paysan d’un douar perdu, qui m’ont durablement marqué et qui sont pour moi comme une grande richesse."
À l’époque de l’immédiateté, ce livre a aujourd’hui pour ambition de faire œuvre utile ; en portant témoignage. Et s’inscrire ainsi parmi tous
ces autres témoignages qui « opèrent une transition nécessaire de la prise de parole individuelle à la prise de conscience collective ». En racontant des histoires fortes que j’ai
partagées avec des hommes et des femmes qui, parfois plongés dans la douleur, la violence ou le sordide, affrontent courageusement l’adversité,
et ne font jamais des autres les boucs émissaires de leurs faiblesses, voire de leur lâcheté. Des hommes et des femmes éblouissants de sagesse, de
pugnacité et d’optimisme.
Sans verser dans le lyrisme, cet ouvrage est aussi un appel à l’élévation. Au travers d’histoires humaines qui tirent l’homme vers le haut. Au travers de son titre aussi, qui invoque la promesse d’un jour nouveau et qui résonne comme une invitation à l’espoir et un appel à s’élever. En des moments parfois moroses, voire sinistres et cyniques, ce texte se veut aussi une malicieuse mais amicale provocation ; en distillant simplement un peu de poésie tout au long de ses lignes.
Enfin, « Le soleil se lève toujours quelque part » n’est pas une prétentieuse leçon de morale, même si le fil rouge de ses histoires si différentes et si denses, demeure la force de l’enthousiasme, du dépassement de soi, de l’espoir et de l’empathie Une force conservée tout au long d’aventures étonnantes, palpitantes et parfois improbables, qui virevoltent avec une espèce d’allégresse dans des mondes et des époques différents, et se terminent chacune par une belle et utile conclusion.
Des tranches de vie rapportées toujours avec profondeur ; souvent avec malice et humour.
Des aventures humaines qui, toutes, s’inscrivent dans l’actualité du monde d’aujourd’hui, et peuvent amener le lecteur qui le désire, à sa propre introspection.
Commander le livre :
http://livre.fnac.com/a9936386/Philippe-Garcia-Le-soleil-se-leve-toujours-quelque-part
Amazon http://amzn.to/2ae6mtd
FNAC http://bit.ly/2a0MOFc
PriceMinister http://bit.ly/29PRVrL
Decitre http://bit.ly/29XyXOY
Editions Vérone http://bit.ly/29PRNbO
À venir sur Chapitre, Cultura ainsi qu’en librairie.
Nitard marie christine (mercredi, 29 mai 2019 14:20)
Bonjours j'espère que vous allez bien votre livre super amicale a bientôt jm.nitard@hotmail.fr
Maïa (samedi, 01 septembre 2018 07:55)
Merci Ryany, mon ami du Maroc. Bonne journée !
Ryany Larbi (vendredi, 31 août 2018 20:17)
Bonjour Votre ami du Maroc , j'éspére que tu vas bien Mes salutations votre ami Ryany Larbi
Vitus (mercredi, 04 juillet 2018 16:25)
je n'arrive toujours pas à imaginer.Quel homme,je n'aurais jamais été capable d'accomplir ce qu'il a fait mais doit avoir eu une vie passionnante en lui souhaitant encore de belles années pour réaliser les choses dont il a envie.Meilleures salutations de Françoise et moi mon camarade.
RYANY LARBI (jeudi, 05 janvier 2017 20:58)
J'ai le grand plaisir de suivre vos publications sur Facebook concernant votre livre le soleil se lève toujours quelque part. Bon courage et a bientôt Ryany Larbi
Maïa (mercredi, 04 janvier 2017 07:50)
Et une joie pour moi cette rencontre via nos livres respectifs, tous deux inondés de soleil c'est-à-dire de force de vie. Dans cette année si douloureuse pour moi, vous avez été un cadeau et je l'espère l'aube d'une belle amitié !
Garcia Philippe (mercredi, 04 janvier 2017 06:10)
Une joie que d'être admis dans votre "royaume des mots". Un honneur aussi, après que votre "Soleil colonial. Au royaume des cailloux" ait si joliment et densément bercé mes journées de passionnante lecture.
Philippe Garcia