Quelques échos dans la presse ou la radio

Maïa dédicace à la médiathèque de Lombez, mercredi 16 décembre 2015

Maïa et son éditeur Wolf Albes (Atlantis) au Salon du livre de Carcassonne en novembre./Photo H. G.
Maïa et son éditeur Wolf Albes (Atlantis) au Salon du livre de Carcassonne en novembre./Photo H. G.

Ce mercredi 16 décembre, de 14 heures à 18 heures, à la médiathèque de Lombez, Maïa Alonso dédicacera ses livres notamment «Les Enfants de la licorne», sa dernière publication. Les années «70», dans un petit village de l'Hérault, au pied du Pic Saint-Loup, une demeure ancestrale («La Quitterie») connaît la destruction puis renaît de ses cendres au fil des siècles. Il semblerait que depuis la nuit des temps, la Licorne et la Buse s'y affrontent. Une lutte sans merci.

Une lectrice samatanaise a écrit : «J'ai lu avec intérêt «Les Enfants de la licorne» où j'ai retrouvé le sens de l'observation et le goût du fantastique de l'auteure, la lumière et les ténèbres s'embrassant aux confins du mystérieux et de l'imaginaire. A la fois simple et complexe, avec des analyses qui se colorent des mystères de la lutte permanente, dans le monde et dans chacun de nous, entre la vie et la mort, le Tout et le Rien, le permanent et le fugace…».

Et pour le maire de Samatan : «C'est avant tout un message qui nous est transmis, un message de courage, d'espoir et d'amour, qui nous renvoient à nos propres vies personnelles». Noël approche, pensez à offrir un livre.

Françoise, responsable de la médiathèque , et Maïa vous invitent à passer les voir pour un moment d'échange amical.

Une ancienne Saint-Lysienne présente ses livres au Salon du livre de St-Lys (31) - 21 novembre 2015

http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/21/2221924-ancienne-saint-lysienne-presente-livres-salon-livre.html

A l'heure où les migrants veulent survivre, Maïa Alonso, auteur en dédicace au salon du livre, se souvient de l'accueil chaleureux des St-Lysiens, il y a 53 ans.
A l'heure où les migrants veulent survivre, Maïa Alonso, auteur en dédicace au salon du livre, se souvient de l'accueil chaleureux des St-Lysiens, il y a 53 ans.

Lors de la 24e édition du salon du livre organisé par le service culturel de la ville et l'association Autour des Lettres, une ancienne Saint-lysienne sera présente parmi les auteurs. En effet Maïa-Ghislaine Alonso a autrefois vécu avec sa famille dans notre cité. Elle y est arrivée l'été 62, lors de l'exode des Pieds-Noirs. Elle se souvient avec émotion de cette arrivée et de l'accueil amical que sa famille a trouvé au village : «Mon père tenait le Café de France et par la suite mes oncles avec lui. Nous étions arrivés à St-Lys en mai avant le reste de notre grande famille. Nous avions loué une maison (chez Sicard) sur l'avenue principale. Et au moment de l'exode, le Secours catholique est venu nous proposer la mise à disposition d'un vieil immeuble pour y accueillir d'autres réfugiés. C'est à Saint-Lys, après Marseille ou Sète, que les nombreux membres de ma famille ont découvert la France. 53 ans plus tard, Saint-Lys a toujours, et pour chacun de nous, une place spéciale dans notre cœur et notre mémoire.» Devenue romancière, Maïa Alonso, qui est aussi correspondante pour la Dépêche du Midi à Lombez-Samatan, présente ses trois titres au salon du livre samedi et dimanche. L'amour de la terre est le dénominateur commun de ses romans.

La Dépêche du Mid

La Dépêche du Midi - magazine - du 15 février 2015

Littérature : Une journée « Licorne »

 

La journée de Maïa Alonso commença  sur les ondes de Radio coteaux où elle était invitée pour son dernier roman « Les enfants de la Licorne » par l’animateur César. Une rencontre amicale à laquelle devait se joindre Pierre Escorsac, ancien chef de rédaction  de la Dépêche du Midi à Auch. Trac et plaisir allaient se partager cette journée puisqu’un peu plus tard, elle intervenait à la médiathèque de Samatan.  Quand le maire Hervé Lefebvre, aux côtés de la directrice de l’espace culturel Hélène Silbermann, prit la parole pour présenter celle qui se dénomme « l’écriveuse », elle s’en retrouva cramoisie. Il évoqua ses 2 précédents livres, disant sa préférence pour Le soleil colonial « véritable hommage à la fraternité et à la grandeur de ces femmes et de ces hommes qui ont travaillé avec tant de courage cette terre sauvage et hostile pour tout simplement y vivre avec leur famille ». N’ayant pas encore lu son dernier livre, c’est sur le site Internet de Maïa que le maire est allé à la pêche pour en parler, y portant un regard profondément humain et soulignant que le mot « terre » résonne dans tous ses livres : « C’est cette séparation avec la terre natale qui a conditionné la force de l’écriture de Maïa Alonso, ce besoin d’écrire, d’exprimer le sentiment humain et de transmettre. Maïa qui dit : ma maison, ce sont les mots ». Il rappela sa fonction de « journaliste locale » : « à la fois  présente et discrète autour des événements… » Et de conclure : « Cette histoire de terre (…) c’est avant tout un message de courage, d’espoir et d’amour qui nous renvoie à nos propres vies personnelles ». L’assistance, attentive ,  témoignait à l’écriveuse, sa vive sympathie tandis que l’on partageait le verre de l’amitié, offert par la médiathèque.

Livres d'ici dans la Dépêche du Midi - Gers

La Dépêche du Midi - 20 décembre 2014

Mardi 23 décembre, à 18 heures, Paul Claudel, de la Maison des écritures, et Françoise Bataille, bibliothécaire, reçoivent, à la médiathèque, Maïa Alonso pour la présentation de son dernier roman, «Les Enfants de la Licorne». Un petit buffet gourmand accompagnera la séance. Le sujet : Dans l'Hérault des années 1970, une demeure ancestrale abritant un secret est vendue aux enchères à une mystérieuse Brésilienne. Tiane, une adolescente de 15 ans, veut reconquérir le domaine familial. Elle espère l'aide de la Licorne des contes de son aïeule pour abattre l'intruse, surnommée «La Buse», en référence à Simon de Montfort, adversaire de ses ancêtres. Ce roman est né dans un contexte quasi magique que Maïa Alonso évoquera. Des lecteurs en parlent déjà : «une incroyable et belle histoire» ; «Maïa Alonso doit aimer très fort cette terre (le Languedoc) pour en parler et l'écrire si joliment. Elle arrive même à nous faire sentir et apprécier les parfums de cette fameuse colline». Un roman où l'enfance, l'amour, la mort, l'histoire et les légendes se déclinent sur une terre souveraine.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/20/2015483-maia-alonso-en-dedicace.html

Dépêche du Midi du Gers - 14.121.2014

«Le soleil colonial», titre de son précédent livre, excellent et primé, a-t-il trop tapé sur la tête de Maïa Alonso ? La question se pose à la lecture de son tout dernier roman, «Les enfants de la Licorne», une histoire de terre tellement peu terre à terre. Pour «inventer» une telle trame qui vire au drame ou à son illusion, l'auteure, installée en pays de Save où elle assure la correspondance de «La Dépêche du Midi», n'a-t-elle pas abusé du soleil ou du Corbières ! «Ni de l'un ni de l'autre», nous assure-t-elle avant d'ajouter que pour «peupler» son enfance et son adolescence, il lui fallait déjà s'inventer sans cesse des personnages, des histoires… La folle imagination d'alors n'a pas abandonné Maïa qui lui donne libre cours sur près de 250 pages «de pure fiction». Le livre brûle du soleil des Corbières où elle a vécu un temps et du Brésil aussi… Cette famille de viticulteurs, les Beltramet dont les ancêtres ont déjà dû combattre «la buse» de Simon de Monfort quand il réglait leur compte aux Cathares, voit revenir, dans les années 1970, le sinistre oiseau. Sous le trait de cette «Brésilienne» qui vient acquérir aux enchères «La Quitterie», le domaine familial abritant un secret. «Chacun de ses membres expropriés mais relogés au village va réagir à sa façon. Certains sont meurtris, voire anéantis, d'autres se rebellent. D'autres encore entrevoient une libération du joug des traditions». Les contes des ancêtres sont formels : seule la licorne peut pourfendre la buse… Se trouvera-t-il dans la famille Beltramet une âme plus forte que les autres pour chevaucher la licorne ? Parce que Tiane, «rebelle» comme on peut l'être à 15 ans, ne joue pas un rôle… mineur dans ce récit, «il s'adresse à tous les publics, dès… 15 ans», conseille Maïa Alonso, qui sait intriguer et surprendre de bout en bout. Ainsi, des dernières lignes rendant compte dans le journal de la mort accidentelle sur la route d'une femme dont les pompiers n'ont pu que constater la mort. Mais «on ne parle pas de cet étrange cheval blanc ni de sa jeune cavalière arrêtés près de la voiture fracassée. Personne n'a prêté attention à la silhouette lumineuse qui s'est arrachée du cadavre pour les rejoindre».

«Les enfants de la Licorne» (éditions Atlantis, 22 €). Maïa Alonso dédicacera son livre aujourd'hui, à Lombez, à 11 heures et à 15 h 30, à l'ancienne école maternelle (lire aussi en page 34). http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/14/2011336-la-licorne-de-maia-terrasse-elle-la-buse.html


Dépêche du Midi, édition du Gers - 3.12.2014

Les lecteurs de la Librairie Pied-Noir, site de vente en ligne de livres, disques et films sur l'Afrique du Nord et l'outre-mer, ont élu Prix des lecteurs 2014 le roman de Maïa Alonso, «Le Soleil colonial - au royaume des cailloux», paru aux éditions Atlantis. Pour ce livre, Maïa, qui avait déjà obtenu en début d'année le prix «Terre d'Eghriss», a été plébiscité à la quasi-unanimité des participants.

Quelques avis de lecteurs : «Un livre poignant et attachant» ; «Les jeunes Algériens pourront connaître ces travailleurs qui partagèrent le sort de leurs grands-pères» ; «Une réhabilitation poignante des «Européens» d'Algérie» ; «Je pouvais même sentir la terre» ; «C'est le plus beau livre sur les Pieds-Noirs et leurs ancêtres que j'ai lu ces cinq dernières années» ; «La complicité des hommes et des femmes de toutes confessions amène le lecteur à comprendre la souffrance de ces peuples qui ont fait l'Algérie et qui, pour des raisons politiques, se sont entre-déchirés». Félicitations à Maïa, qui, quand elle n'écrit pas de livres, écrit pour la chronique Lombez et Samatan dans «La Dépêche du Midi». www.librairie-pied-noir.com

La Dépêche du Midi

Sur Radio Coteaux le 27 aout 2014, une interview réalisée par César et Patrick Martinez

Avec César, animateur de Radio Coteaux, dans le Gers
Avec César, animateur de Radio Coteaux, dans le Gers

Au bonheur des chineurs...

Lombez (32) - Publié le 16/08/2014

Lu dans la Dépêche du 16 aout 2014 :

Demain (dimanche 17 aout) sera une journée découverte. L'association Partage & Savoir organise son premier vide-greniers autour de la mairie. Plus qu'un vide-greniers, c'est un partage de talents et d'amitié. Outre la cinquantaine d'exposants et leurs trésors, on pourra découvrir le massage que prodigue Isabelle Gaignier. Cette artiste aux multiples talents a été formée au massage AMMA suivant le protocole de David Palmer, massage qui aide à la prévention du stress et du mal de dos.

A découvrir, toujours avec Isabelle et Karine, des produits de beauté du Maroc, et des bijoux. On pourra également s'arrêter un instant au stand des écrivains lombéziens, Yannick Billaut et Maïa Alonso, pour une dédicace ou tout simplement échanger sur la création littéraire. Yannick Billaud a été comédien et co-auteur de pièce ou de textes en forme de paroles de chanson ; en parallèle, le monde de l'éducation spécialisée, l'enfance en difficulté, les familles à la rue. Il signe ici son premier roman «L'émoi d'août» (Ed. Hélène Jacob). Un petit roman d'été, délicieux à siroter… en attendant la suite. Autre est l'inspiration de Maïa Alonso, connue de nos lecteurs puisque depuis près de 30 ans elle anime les rubriques de Lombez et Samatan dans nos colonnes. Son roman «Le soleil colonial – Au royaume des cailloux» (Ed. Atlantis) raconte quatre destins de femmes entre 1870 et 1962, en Oranie. Une vie de pionnières digne du far-west américain, énergique et sensuelle. Ces deux livres sont à la librairie du Boulevard des Pyrénées.

Bien sûr, beaucoup d'originalité et de curiosités seront proposées tout au long de la journée sans oublier le rendez-vous, à partir de midi, pour l'apéritif offert par l'association.

Le public est attendu en nombre pour partager la joie de vivre de Khadija Bauer et des membres de Partage et Savoir.

Rencontre autour du «Soleil Colonial»

Samatan (32) - Publié le 08/07/2014 à 03:52

La rencontre littéraire à la médiathèque autour du livre de Maia Alonso «Le Soleil colonial» (prix Terre d'Eghriss) a connu un moment de forte émotion et de vive authenticité. Devant une quarantaine de participants (il avait fallu rajouter des sièges), la directrice Hélène Silbermann a présenté l'auteur et son roman avant de laisser la parole à l'adjoint au maire Jean-Pierre Laffontan. Celui-ci s'était penché avec une fine attention sur le parcours de Maia Alonso pour en dresser un portrait éloquent et d'une telle précision qu'elle en perdit contenance, tout émue. En effet, il avait pris un de ses textes par lequel elle avait justement choisi de démarrer son intervention. Il poursuivait : «Vous avez écrit : «Ma seule fidélité, c'est envers moi-même». Nous aimerions que vous le soyez envers nous aussi ; nous ne voulons pas vous perdre. Vous avez aussi écrit : «Etant désormais de nulle part, je suis de partout». Sachez Maia Alonso, que nous ferons tout pour qu'un jour vous disiez, je suis de Lombez.» Et il conclut en l'invitant à faire de la terre du Savès sa terre d'élection. Maia Alonso a relaté les conditions d'écriture de son roman dont elle a lu quelques extraits. Une pause a été occupée à déguster les pâtisseries marocaines de Khadija Bauer et du thé à la menthe. Une rencontre intensément amicale qui consolidait, si besoin était encore, les liens entre Maia Alonso et les Samatanais parmi lesquels des Lombéziens s'étaient faufilés.

La Dépêche du Midi

L'Algérie, le terroir du «Soleil colonial» de Maïa Alonso

Lombez (32) - Édition du 16.06.2014

Maïa Alonso avec son nouveau livre qui a reçu le Prix littéraire Terre d'Eghriss-L'Autre rive qui, en 2003, revenait à Guillaume Canet et l'an dernier à Daniel Saint-Hamont./ Photo DDM M. C.
Maïa Alonso avec son nouveau livre qui a reçu le Prix littéraire Terre d'Eghriss-L'Autre rive qui, en 2003, revenait à Guillaume Canet et l'an dernier à Daniel Saint-Hamont./ Photo DDM M. C.

Après «L'Odyssée de Grain de Bled en terre d'Ifriqiya» paru en 2013, Maïa Alonso, notre correspondante à Lombez et Samatan, publie «Le soleil colonial». Ce soleil est celui qui irradie l'Algérie et le… bled que cette petite-fille et fille de colons, venus d'Espagne, garde évidemment chevillés au cœur. Ce livre de 240 pages qui se veut aussi «un hommage à la fraternité qui régnait en Algérie, fait oublié de l'histoire officielle» est un beau roman. «Il chante la terre et la vie de 4 femmes rebelles, 4 générations, entre 1870 et 1962. La femme et la terre y sont symboliquement très liées : Maria-Luz, mariée contre son gré à un brave homme qu'elle finira par aimer. Au début de leur vie commune, elle fait la grève du sexe… Pauline, sa fille, personnage central du roman, après une enfance rétive, un mariage forcé, elle aussi, le devoir l'emporte. Jeanne, la fille de Pauline, c'est mon Emma Bovary. Elle rêve l'amour. Et puis, Marie-Sahara. Viscéralement Algérienne, elle rejette la France. Autour d'elles, José, la tribu des Seigneurs des cailloux, Angelo et Miélou, la mejnouna (la folle). Il y a Yaminah, Rachid, Slameth, Leila… On les voit vivre avec leurs défauts et leurs qualités, dans leur simple humanité». Avec donc l'Algérie en toile de fond pour cette «petite saga» qui est aussi «un roman du terroir», affirme Maïa : «Je raconte la vie telle qu'elle s'y déroulait en ce temps-là comme peut le faire Christian Signol avec ses romans sur le Quercy. On est toujours influencé par ses racines». Celles de Maïa Alonso trempent dans la même terre que celles d'Albert Camus qui a écrit : «J'ai aimé avec passion cette terre où je suis né, j'y ai puisé tout ce que je suis et je n'ai jamais séparé dans mon amitié aucun des hommes qui y vivent, de quelque race qu'ils soient. Bien que j'aie connu et partagé les misères qui ne lui manquent pas, elle est restée pour moi la terre du bonheur, de l'énergie et de la création». En la publiant en exergue de son roman, Maïa Alonso fait sienne cette citation.


Présenté à Samatan et à Lombez

Maïa Alonso présentera son livre mardi 24 juin, à 18 heures, à la médiathèque de Samatan, au cours d'une soirée accompagnée de pâtisseries orientales puis à la médiathèque de Lombez vendredi 27 juin, à 18 h 30. «Le soleil colonial», EditionAtlantis, 22 €. A retrouver sur http ://www.maia-alonso.com/le-soleil-colonial-au-royaume-des-cailloux/

Maïa Alonso : Le Soleil colonial
L’ouvrage de Maïa Alonso a un très beau sous-titre (qui aurait pu être le titre de son livre d’ailleurs) : « Au royaume des cailloux ». Mais, on l’a compris, ce soleil colonial répond à La Nuit coloniale de Ferhat Abbas.
De quoi s’agit-il ? De la saga d’une famille qui a échappé de justesse aux
massacres du 5 juillet à Oran (sous les yeux d’une armée française restée l’arme aux pieds). Maïa Alonso, issue de la quatrième génération d’une famille espagnole arrivée d’Arboleas en 1870 pour s’installer dans la région de Mascara, écrit : « Moi qui suis petite-fille et fille de colons, fière de leur travail, j’ai voulu témoigner de la grandeur de ces femmes et de ces hommes que j’ai vus à la peine pendant toute leur vie pour fertiliser une terre sauvage et hostile. Ils sont devenus seigneurs, mais d’un royaume de cailloux qu’ils ont passionnément aimé. »
A lire avec les yeux du coeur.
Editions Atlantis (editionatlantis.de).
ALAIN SANDERS
Article extrait du n° 8131 de Présent, du Mercredi 25 juin 2014

23.02.2014

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/23/1824933-lombez-maia-alonso-en-dedicace-a-cultura-labege.html

L’enseigne «Cultura» de Labège organise une séance dédicace avec Maïa Alonso qui incarne un beau métissage : du sang espagnol, un cœur algérien et une culture française. On pourra rencontrer l’auteure demain, de 11 heures à 17 heures, autour de son livre «L’Odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya», paru aux éditions L’Harmattan en 2013. Son ouvrage permet de prendre le recul nécessaire afin de dépasser la terrible réalité guerrière. Une lecture qui invite à devenir un grain de sable, à se délester de toute logique, à s’immerger dans les images, les odeurs, les couleurs, le rêve. Un peu comme devant une peinture abstraite. Laissez-vous aller : «C’est la clé qui vous ouvrira au charme de ces chants.»

A cette occasion, elle présentera les actions d’ELA, association européenne contre les leucodystrophies, une opération de soutien pour la recherche médicale. On trouve aussi son livre à la librairie de Françoise Cousse.

La Dépêche du Midi

Malheureusement, Je suis dans l'obligation de renoncer à cette dédidace à Cultura-Labège et je prie toutes les personnes qui avaient l'intention de venir me voir de m'excuser.

19.02.2014

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1822061-labege-maia-alonso-dedicace-son-nouveau-livre.html

L’enseigne «Cultura» de Labège organise une séance dédicace avec Maïa Alonso qui incarne un beau métissage : du sang espagnol, un cœur algérien et une culture française. Et avec ça un amour pour la langue de Shakespeare ! Alors n’hésitez pas à venir la rencontrer lundi 24 février de 11 heures à 17 heures pour le livre «L’Odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya» aux éditions L’Harmattan (livre paru en 2013). Son ouvrage permet de prendre le recul nécessaire afin de dépasser la terrible réalité guerrière. D’ailleurs, elle affirme : « Quels qu’ils soient, aucun n’a la légitimité pour lui. Tous ont été l’envahisseur à un moment donné. Et les revendications ne connaissent pas de fin. Non plus les injustices. Pourtant, la Terre qu’ils se disputent, reste hautaine et indifférente, se nourrissant de leurs cadavres. De nos cadavres. Son chant nous dépasse.» C’est là le point de départ de l’écriture de «L’Odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya». La lecture invite à devenir un grain de sable ; à se délester de toute logique. À s’immerger dans les images, les odeurs, les couleurs, le rêve. Un peu comme devant une peinture abstraite. Laissez-vous aller : «C’est la clé qui vous ouvrira au charme de ces chants.»

La Dépêche du Midi

Lors de cette dédicace, il y aura une présentation de l'association ELA et une invitation à la soutenir. Je vous attends nombreux pour cette journée de rencontre !

Février 2013

La «première mère» de Maïa Alonso - Interview de Bernard Ducom - La Dépêche du Midi

Maïa Alonso, correspondante de «La Dépêche du Midi» à Lombez-Samatan, vient de publier son second livre intitulé «L'Odyssée de Grain de Bled en terre d'Iffriqiya». «Je serais ravie si mon livre venait réveiller l'intérêt pour une histoire peu oubliée» nous a-t-elle déclaré en marge de l'interview...  (lire la suite)

«L'odyssée de Grain de Bled en terre d'Iffryqiya» est édité aux éditions de l'Harmattan. On peut le commander en librairie notamment à Samatan et à Lombez ou directement chez l'éditeur : Service - Diffusion - 5-7 rue de l'Ecole Polytechnique, 75005 Paris (01.40.46.79.20). Maïa Alonso prévoit plusieurs signatures-dédicaces qui seront annoncées dans nos colonnes. 

L'Algérianiste, n° 143, septembre 2013, Pierre Dimech


Samatan. Médiathèque : en voyage en terre d'Ifriqiya.-

Les lecteurs de la médiathèque ont découvert le livre écrit par Maïa Alonso, venue présenter les pérégrinations d'un grain de sable animé, témoin de l'histoire d'une terre qui lui est chère, celle qu'elle a foulée tout au long de son enfance, l'Afrique. Maïa a emmené son auditoire sur la tombe de la reine Cléopâtre Séléné le jour de ses funérailles, à l'ombre des venelles de la ville de Tlemcen chantée par le sage Ibn Khaldoun, ou encore sur les pas de la voyageuse passionnée d'islam Isabelle Eberhardt, dont la destinée fait étrangement écho en elle. Le retour à la réalité est rude après ces lectures évocatrices, mais la médiathèque projette d'accueillir à nouveau Maïa Alonso pour des lectures de son livre au mois de juillet, sur fond des photographies de déserts de Jean-Yves Gaudon, dont l'une figure en première de couverture de «L'Odyssée de Grain de Bled en terre d'Ifriqiya» (aux éditions de L'Harmattan). La médiathèque est ouverte les lundis, mercredis et samedis, de 10 heures à 13 heures et les mercredis, jeudis et vendredis, de 14 h 30 à 18 h 30. Renseignements 05.62.07.42.97

L'Algérianiste, n° 143 - septembre 2013, Roger Vétillard

L'Algérianiste, n° 143, sep. 2013
L'Algérianiste, n° 143, sep. 2013

Actualités  »  Grand Sud  » Gers

Le périple de Grain de bled se poursuit à Samatan.- 

L'Odyssée de «Grain de Bled*» se poursuit en terre gasconne. Ce petit grain de sable, depuis sa publication, entraîne son auteure, Maïa Alonso, en divers lieux pour y rencontrer des lecteurs : rendez-vous mercredi 10 avril à 18 heures à la médiathèque de Samatan pour une présentation, échange avec le public et signature et samedi 13 avril de 10 à 12 heures à la Caisse locale du Crédit Agricole pour une séance de dédicace. Ce petit livre, préfacé par Gil Jouanard, dont la couverture est signée par un samatanais, Jean-Yves Gaudon, fait couler de l'encre virtuelle sur la toile, ainsi le blog de Catherine Nicolas Pallois «Le petit monde de Babou» où on peut lire : «Je ne connais pas de plus extraordinaire aventure que celle de ce grain de sable, infime fragment d'une terre profondément authentique, torturée et fabuleuse dont les périodes historiques ou légendaires de son Histoire nous sont contées au fil des pages de ce livre étonnant parfois difficile, animé toujours d'expressions poétiques absolument divines…. (lire la suite)

Etoiles d'encre, revue Femmes en Méditerranée, n°55-56, P204

Erratum - La critique d'Etoiles d'encre est de Michèle Perret et non Gil Jouanard

Actualités  »  Grand Sud  » Gers

Le périple de Grain de bled se poursuit à Samatan.- 

L'Odyssée de «Grain de Bled*» se poursuit en terre gasconne. Ce petit grain de sable, depuis sa publication, entraîne son auteure, Maïa Alonso, en divers lieux pour y rencontrer des lecteurs : rendez-vous mercredi 10 avril à 18 heures à la médiathèque de Samatan pour une présentation, échange avec le public et signature et samedi 13 avril de 10 à 12 heures à la Caisse locale du Crédit Agricole pour une séance de dédicace. Ce petit livre, préfacé par Gil Jouanard, dont la couverture est signée par un samatanais, Jean-Yves Gaudon, fait couler de l'encre virtuelle sur la toile, ainsi le blog de Catherine Nicolas Pallois «Le petit monde de Babou» où on peut lire : «Je ne connais pas de plus extraordinaire aventure que celle de ce grain de sable, infime fragment d'une terre profondément authentique, torturée et fabuleuse dont les périodes historiques ou légendaires de son Histoire nous sont contées au fil des pages de ce livre étonnant parfois difficile, animé toujours d'expressions poétiques absolument divines…. (lire la suite)

Lombez. A la rencontre de Grain de Bled.-

Demain mercredi, la médiathèque de Lombez reçoit Maïa Alonso, à 18 heures, pour la présentation de son livre : «L'Odyssée de Grain de Bled en terre d'Ifriqiya» (Ed. L'Harmattan). Après une jeunesse nomade entre Toulouse, Florence, Londres et Paris, Maïa Alonso, née en Oranie, s'est établie dans le Gers en 1984 et, depuis 1986, elle est correspondante de «La Dépêche du Midi». L'écrivain et parolier Patrice Guirao («Les 10 Commandements», «Mozart», «Le Roi Lion» et «Robin des Bois», etc.), écrit à propos de son livre : «Comme chacun le sait, un grain de bled c'est comme une graine d'amour, une fois plantée dans le cœur, elle est arbre de vie. «Grain de bled» trouve ses terres sans même les chercher. Plus qu'un livre, c'est un hymne, la recherche première, la source originelle, le second cri d'un premier souffle. Plus qu'une perception de l'Histoire, c'est une fusion des histoires… lire la suite

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